Pierre Palmade : un humoriste en garde à vue

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French humorist Pierre Palmade. (Photo by Eric Robert/Sygma/Sygma via Getty Images)
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Pierre Palmade sera-t-il placé en garde à vue ? La cour d’appel de Paris se prononce, vendredi 24 février, sur l’assignation à résidence, contestée par le parquet, de l’humoriste de 54 ans. Il est mis en examen pour « homicide et blessures involontaires » après le grave accident qu’il a causé sous l’effet de la cocaïne. L’audience a débuté à 9 heures et se tient à huis clos, comme l’a demandé la défense de Pierre Palmade. Ce dernier est absent, représenté par son avocat. Suivez notre direct.

En résidence surveillée dans un service de toxicomanie. La semaine dernière, le juge des libertés et de la détention du tribunal judiciaire de Melun a décidé de laisser libre Pierre Palmade sous contrôle judiciaire. Depuis, il est au bracelet électronique dans le service des addictions d’un hôpital de la région parisienne. Mais le parquet, qui avait requis la détention provisoire, a fait appel de cette assignation à résidence.

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Un homme de 38 ans et son fils de 6 ans toujours en réanimation. Le 10 février, sur une route départementale de Seine-et-Marne, Pierre Palmade, contrôlé positif à la cocaïne, conduisait une voiture qui a percuté un autre véhicule. Outre l’acteur, l’accident a fait trois blessés graves : un homme, son fils et sa belle-sœur enceinte de six mois et demi, qui a perdu son enfant à naître. Selon les dernières informations sur leur état de santé, communiquées par le parquet la semaine dernière, le chauffeur de 38 ans et son fils de 6 ans sont toujours hospitalisés en réanimation dans un état grave. La femme de 27 ans est sortie de l’hôpital.

Deux hommes placés sous le statut de témoin assisté. Deux hommes de 33 et 34 ans se trouvaient dans la Peugeot 3008 de Pierre Palmade lorsqu’elle a percuté une Renault Mégane arrivant en face, sur la D372. Devant le juge d’instruction, ils avaient confirmé qu’ils avaient pris la fuite avant l’arrivée des secours et qu’ils avaient consommé des stupéfiants, selon le parquet de Melun. Ils ont été placés sous le statut de témoin assisté pour « non-assistance à personne en danger ».

 

Source:

  • https://westobserver.com/
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