Dans une action coordonnée et dévastatrice, des câbles de fibre optique essentiels au fonctionnement sécuritaire du réseau ferroviaire français ont été ciblés durant la nuit de jeudi à vendredi. Ces câbles, vitaux pour la transmission des informations de sécurité telles que les signaux des feux rouges et les contrôles des aiguillages, ont été coupés et incendiés à plusieurs endroits clés du réseau de la SNCF.
L’attaque a eu lieu à proximité des voies ferrées, perturbant ainsi gravement le système de communication qui régule le trafic ferroviaire. En conséquence, le réseau TGV est particulièrement touché : des centaines de trajets ont été annulés ou fortement retardés. Les premières estimations indiquent que la perturbation pourrait affecter des milliers de passagers à travers le pays, avec des impacts potentiels qui s’étendront sur plusieurs jours.
Les équipes de maintenance de la SNCF, épaulées par les forces de sécurité, s’efforcent de rétablir les connexions endommagées. Cependant, la complexité du réseau de fibres optiques et l’ampleur des dégâts pourraient prolonger les interruptions.
Les autorités ont ouvert une enquête pour identifier les responsables de cette attaque et évaluer les implications sécuritaires à long terme. Dans l’intervalle, les voyageurs sont invités à vérifier l’état de leurs trajets et à prévoir des retards importants.
Cette attaque massive soulève des questions sérieuses sur la vulnérabilité des infrastructures critiques et rappelle l’importance de renforcer les mesures de sécurité pour prévenir de telles incidents à l’avenir. La SNCF, déjà en crise, devra naviguer entre rétablissement des services et gestion de la crise pour minimiser les désagréments subis par les usagers.