Sport : mieux comprendre le bon et le mauvais stress

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Lorsque nous sommes confrontés à une forte pression ou à l’inconnu, il n’est pas rare que l’on ressente une sorte de grosse boule dans le ventre, c’est ce que l’on appelle le stress. Il faut cependant distinguer le bon stress du mauvais et en comprendre ses effets.

Le bon stress ou stress positif

 

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Le bon stress résulte d’une énergie accrue et d’une bonne motivation à réaliser une chose. C’est une stimulation légère et positive qui pousse à l’effort et qui aide à accomplir des tâches en adéquation avec les aspirations personnelles. Une fois la tâche terminée, la sensation d’accomplissement se fera ressentir et s’associera à un sentiment de fatigue saine.

Le  mauvais stress correspond pour sa part, à une sur ou sous estimation de la situation et à un doute sur ses capacités à accomplir les tâches affectées. Les symptômes d’un mauvais stress se traduisent par une sensation de jambes en coton, des troubles digestifs, des pensées négatives et une hypertension. À cela s’ajoute un manque de confiance en soi et une attitude négative. Contrairement au bon stress, la fatigue qui résulte du mauvais stress ne crée pas de réconfort, elle empêche de se détendre et de trouver le sommeil et peut entraîner un burn-out.

Comment gérer le stress ?

 

Ce qui différencie le bon stress du mauvais stress, c’est son intensité. Il est intéressant de rappeler que lorsque le bon stress et à son summum, il peut générer des symptômes qui rappellent le mauvais stress à savoir le cœur qui s’accélère, les mains moites et de la nervosité. Pour ne pas se laisser étouffer par le stress, il est important de bien le maîtriser.

Pour gérer le stress, il faut commencer par l’identifier. Le bon stress est toujours positif pour le sportif et il lui est d’ailleurs nécessaire, surtout lors des compétitions. Il faudra toutefois qu’il le vive bien et l’accepte au risque de le transformer en un mauvais stress. Pour ce faire, il faudra établir une zone de contrôle où le niveau de stress sera optimal, ni trop élevé, ni trop bas. S’il est trop bas alors, il ne va pas aider le sportif dans sa motivation alors que s’il est trop élevé alors, il va le bloquer dans son élan.

Les techniques anti-stress à retenir

 

La première chose à faire est de relativiser et de se recentrer sur les moyens qui permettent d’atteindre les objectifs fixés. Les techniques de respiration et de concentration aident également à se relaxer avant l’effort et même après, pour optimiser la récupération et optimiser le relâchement mental et musculaire. La mise en place de petits exercices de relaxation est tout aussi indiquée, car ils aident à retrouver un certain bien-être. Enfin, on n’arrive à rien sans une bonne confiance en soi et des ancrages positifs sont indispensables à cet effet.

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